Trois témoins d’un mariage finissent dans un jacuzzi à bulles humaines — personne ne sait comment
(quand le "oui" se transforme en "oups")
Les mariages, en principe, c’est de l’amour, de la tendresse, des dragées collées aux gencives et des playlists douteuses gérées par un DJ nommé DJ Titi 2000. Mais parfois, le sacré tourne au burlesque, le champagne à la cervoise, et le plan de table à un jeu de rôle sous MDMA. C’est exactement ce qui s’est passé à Froidefontaine-les-Nuages, charmante commune du sud-ouest de la France, connue pour sa production de melon et, désormais, pour un jacuzzi un peu trop collectif.
Les faits se sont déroulés lors de la réception du mariage de Morgane et Théo, deux jeunes cadres dynamiques en amour depuis qu’ils ont failli s’échanger leurs cabas en caisse rapide. Un couple adorable, 100 % Instagram-compatible, qui avait tout prévu pour leur grand jour : vin d’honneur au château, fontaine à mojito, photobooth avec accessoires ridicules, et cerise sur le gâteau, un jacuzzi extérieur chauffé à 38 degrés, installé sous des guirlandes LED “ambiance féerique”.
Ce que personne n’avait prévu, en revanche, c’est que trois des témoins allaient finir la soirée dans ledit jacuzzi… à poil, entrelacés, et visiblement en plein échange de fluides, physiques et émotionnels.
Ces trois personnes — appelons-les Claire, Maxime et Dylan (parce que soyons honnêtes, il fallait bien un Dylan) — avaient commencé la journée sobrement. Discours émouvants, sourires maîtrisés, tenues impeccables. Mais après le huitième verre de spritz et une chenille interminable sur Claude François, la barrière du savoir-vivre a flanché comme un buffet sous le poids du traiteur.
Selon plusieurs témoins oculaires, l’entrée dans le jacuzzi a d’abord été “ludique”, façon animation de camping chic. Des rires. Des bulles. Des jets massants bien placés. Et puis… le glissement. Le fameux. Celui où la main se perd, la robe se mouille, le regard devient flou, et où quelqu’un crie “Allez, on est entre amis hein !” comme une formule magique d’irresponsabilité.
À 1h23 du matin, un silence gêné plane sur la piste de danse, interrompu par un cri venu de la terrasse :
— “Oh mon dieu, ils font une fondue humaine dans le jacuzzi !”
Le père du marié, Michel, 62 ans, ancien gendarme, arrive sur place en robe de chambre pour constater la scène. Il fait demi-tour sans dire un mot. Sa femme note dans son carnet : "Ne jamais louer de jacuzzi pour un événement impliquant des gens de moins de 35 ans."
Morgane, la mariée, tente d’apaiser les tensions avec une diplomatie très 2025 :
“Ce sont des adultes consentants… visiblement… je crois ?”
Mais Théo, le marié, n’apprécie que modérément le fait que son témoin principal, Maxime, ait passé plus de temps à faire des bulles dans le jacuzzi qu’à distribuer les alliances. Le reste de la soirée est flou : certains disent qu’il y a eu une tentative de lancer de bouquet vers le bain, d’autres évoquent un canon à confettis détraqué, ou encore une chorégraphie de fin de soirée transformée en intervention d’urgence avec serviettes de bain volées à l’hôtel voisin.
Le lendemain matin, les trois protagonistes sortent du jacuzzi visiblement ravis, enveloppés dans des peignoirs de fortune, avec cette démarche floue des gens qui n’ont plus peur du jugement. Claire dira plus tard :
“C’est la première fois que je vis une expérience aquatique avec deux personnes en même temps. Très… émancipant.”
Le maire, lui, s’est dit “mitigé” sur les conséquences de cette “dérive festive”, tandis que le loueur du jacuzzi a demandé un remboursement immédiat après avoir récupéré l’installation avec des traces suspectes et un gobelet coincé dans le filtre.
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